Et il plongeât son regard au creux de son âme …
Timide, fragile, entre deux instants
Elle hésitait, respirait un peu court
A la fenêtre de son cœur il passait
Faisant trembler sa muraille
Et il plongeât son regard au creux de son âme …
Le mustang devenu sauvage
Se cabrait d’émotions
Au contact de ses mains
Qui courraient dans sa crinière
Et il plongeât son regard au creux de son âme …
La tempête grondait, au loin
Aucun abri, aucune issue
Le vent emporte et déporte
Un seule ancre, le rocher de son cœur
Et il plongeât son regard au creux de son âme …
Quand il lui ouvrait sa poitrine
Le temps se suspendait aux battements
Doucement serein de son cœur
Qui imposait son rythme aux minutes
Et il plongeât son regard au creux de son âme …
Et il vit, de bien jolies choses, de bien jolis mots
De bien jolis rêves, et de grandes histoires à écrire
Robin
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