Le son de tes yeux
Pupille dilatée, cœur en déroute
Ton regard crie dans mon être
De fuir ce que je ne suis pas
Dans ton pas, sage, je me fraye une voix
Ta voie regarde mes mots en vertiges
Maux qui s’entrechoquent dans l’extrême
Qui frôle vie et mort, ensemble mélangés
Pour le pire d’un froid qui s’estompe
Les bulles et les vagues fusent
Étoffe inutile tant l’énergie coule
Dans ce flot de vie qui déborde
Sur le torrent de ma glisse entre vous
Le son de tes yeux me renverse
Le regard de tes mots me touche
La couleur de ton gout couche ma peau
L’odeur de ton regard adoucit ma voix
A toi qui me touche
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